Valentine Petit est la fille de Roland Petit et Zizi Jeanmaire. Elle a débuté à l'âge de huit ans dans le domaine artistique comme « petit rat » à l'Opéra de Paris. A seize ans, elle change d'orientation et suit des cours d'art dramatique chez Jean-Laurent Cochet pendant trois ans. Lors d'un spectacle de fin d'année, elle réalise que le chant et l'écriture ont une grande importance pour elle.
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Valentine Petit a débuté à l’âge de huit ans dans le domaine artistique comme  « petit rat »  à l’Opéra de Paris. A seize ans, elle change d’orientation et suit des cours d’art dramatique chez Jean-Laurent Cochet pendant trois ans. Lors d’un spectacle de fin d’année, elle réalise que le chant et l’écriture ont une grande importance pour elle.

Elle part à Los Angeles et intègre le  « Civic Light Opera Musical Theater Workshop »  où elle prend des cours de comédie, de chant, ce qui l’initie au répertoire des grandes comédies musicales américaines.

De retour à Paris, d’importantes rencontres vont  déterminer son parcours d’auteur. D’abord celle avec Serge Gainsbourg, qui sera décisive et durera de l’année 1980 à l’année 1991. Ce lien la conduira à se dédier entièrement à l’écriture de textes de chansons.

Puis sa rencontre avec Michel Tournier, à qui elle voue une grande admiration.

En 1991 paraît   « Etreintes », album entièrement écrit et interprété par Valentine. Salué par les critiques, il est adapté sur scène dans un ballet,  « Valentine’s love songs », chorégraphié par Roland Petit qui réalise également un clip sous les lumières d’Henri Alekan.

Depuis, sous de multiples formes, l’écriture a envahi l’espace de Valentine dont elle nous offre aujourd’hui une vision avec  « Délit D’ivresse »  ainsi que  « Les Bons Petits Diables » créés au Théâtre Jean Vilar de Suresnes en décembre 2005 mis en scène par Roland Petit sur des musiques de Richard Galliano avec les enfants de la maîtrise des Hauts de seine.

 « J’écris depuis longtemps. Pendant des années je peaufinais mon travail, jamais satisfaite du point à la ligne. Je rêvais d’une musique qui se marierait avec mes textes, mon travail rangé méticuleusement dans des tiroirs. Puis un jour j’entendis les premières notes qu’avait écrites Richard Galliano sur l’un de mes textes, mes phrases vibraient, vivantes, enveloppées d’un écrin musical que je croyais ne jamais trouver !

Ce fût une telle révélation, qu’il me sembla alors évident que les accords de Richard Galliano et les mots que j’avais si longtemps cachés étaient faits pour se fondre, se mêler, s’harmoniser.

Je suis aujourd’hui très heureuse de me retrouver au royaume des magiciens.....là où les miracles ne s’expliquent pas, mais s’accomplissent. » 


*Valentine vient de terminer des Contes pour enfants et travaille actuellement  sur un roman.       







































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